Le personnage a une grande connaissance des génies de toutes sortes, depuis les plus insignifiants des génies élémentaires (génies d'air, de feu, de sable ou d'eau qui servent de familiers à de nombreux mages baklunis) jusqu'aux plus grandioses des génies nobles, pachas ou califes. Il sait de quelle manière s'adresser à eux pour éviter de les offenser et pouvoir éventuellement obtenir leurs faveurs.

Le personnage connaît également la hiérarchie et l'organisation des différents types de génies. Au premier coup d'œil, il peut dire si telle créature rencontrée est un marid, un djinn, un dao, un éfrit ou un jann. Il peut distinguer facilement s'il a affaire à un génie de base ou à un noble.

S'il fait face à un génie qui revêt l'apparence d'un humain, un test de compétence réussi signifie qu'un détail vestimentaire, ou quelque chose d'inhabituel dans son comportement ou sa façon de parler, lui révèle la ruse. Un 20 naturel au test signifie qu'il se persuade exactement du contraire de la vérité. Si le personnage n'a aucune raison de se méfier, le test se fait par rapport à la moitié de son score d'Intelligence (arrondie à l'entier inférieur).

Le personnage est également capable de détecter le travail des génies, c'est-à-dire les manifestations physiques de leurs pouvoirs magiques ainsi que les objets qu'ils ont pu créer. Les chances sont toutefois limitées, le personnage devant réussir un test par rapport à la moitié de son score d'Intelligence (arrondie à l'entier inférieur). En cas de succès, le personnage peut percevoir, par exemple, qu'un mur de pierre a été créé par la magie d'un dao, ou que le vin qu'il est en train de boire a été créé par un djinn, ou encore que l'amour éperdu d'une princesse pour un simple roturier est sans aucun doute le fruit d'un souhait accordé par un génie.

Cette compétence ne confère en aucun cas la capacité de détecter les génies invisibles ni de percer leurs illusions.